Encore connues sous l’appellation d’e-cigarettes, ou de vapoteuses, les cigarettes électroniques sont aujourd’hui proposées en plusieurs formes et couleurs, même si le principe demeure le même sur toute la ligne. Elles contiennent un liquide aromatisé que l’utilisateur se charge de vaporiser, d’inhaler et de rejeter sous forme de vapeur. Mais en France, le Code de la santé publique a strictement interdit avec rigueur aux commerçants de laisser les mineurs avoir accès aux cigarettes électroniques. Pourtant, ils continuent d’en consommer. Découvrez dans le présent article comment ils arrivent à s’acheter ces appareils.
Méthodes des mineurs pour s’approvisionner en cigarettes électroniques
Il existe des vendeurs qui mettent la conscience et le professionnalisme dans leur activité de commercialisation des cigarettes électroniques en respectant scrupuleusement la loi. Et pour ce faire, ils exigent au client de présenter une pièce d’identité prouvant sa majorité avant de lui servir le produit. Visitez le site web pour en savoir plus …. Ce sont des restrictions qui peuvent faire penser que les mineurs n’ont aucune possibilité d’avoir accès à la vapoteuse. Ce n’est qu’une illusion, car ils sont des milliers en disposer. En effet, chacun va sur le marché avec sa méthode à lui. Parmi le lot se trouvent ceux qui s’achètent les e-cigarettes par le biais d’une autre personne, c’est-à-dire en deuxième main. Et la forte demande par les adolescents a occasionné aujourd’hui l’expansion d’un business du genre en ligne. Dans ce cas, il suffit d’avoir plus de 18 ans pour que le client soit autorisé à acheter le produit. À son tour, il le vendra à qui il veut, y compris les mineurs, avec intérêt.
Autres cas classiques qui permettent aux mineurs d’avoir accès aux e-cigarettes
Dans bien des cas, ce sont les parents qui achètent les cigarettes électroniques pour leurs enfants en prétextant qu’elles sont moins novices, comparativement aux cigarettes traditionnelles. Même si cela est vrai, le danger n’est toutefois pas écarté puisque les fumeurs eux-mêmes se permettent parfois d’ajouter à la vape d’autres liquides qui s’avèrent très dangereux pour le développement cérébral. Dans d’autres cas, ce sont les vendeurs qui se mettent en complicité avec les mineurs qui deviennent leurs clients.